Ont collaboré à ce numéro

 cirid,
 CNUCED
 ECOFIN
 Gingembre Litteraire
 Malick NDIAYE
 Min. Alioune SARR
 Pr Amsatou S. Sidibé
 Université de Pékin

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(Agence Ecofin) - Le secteur privé en Côte d’Ivoire contribue à hauteur de 80% aux recettes de l’Etat. Plusieurs initiatives sont mises en place par le gouvernement afin d’amener le secteur à contribuer à l’investissement à hauteur de 25% du PIB et créer plus de 90% des emplois projetés à l’horizon 2030.

Le gouvernement ivoirien a lancé un programme de facilité d’investissement à long terme (FILT) de 38 milliards FCFA (63 millions $) pour stimuler le secteur privé. L’information a été communiquée par le gouvernement lundi 19 juin.

Le déficit de financement pour atteindre les objectifs de développement durable, estimé à 200 milliards de dollars par an, pourrait être réduit de près de moitié

Genève, 28 septembre 2020 - Chaque année, on estime que 88,6 milliards de dollars, soit l'équivalent de 3,7 % du PIB africain, quittent le continent sous forme de fuite illicite de capitaux, selon le dernier rapport de la CNUCED sur le développement économique en Afrique publié récemment. 

Les flux financiers illicites (FFI) sont des mouvements transfrontaliers d'argent et d'actifs dont la source, le transfert ou l'utilisation sont illégaux, tels que définis dans ce rapport intitulé "Les flux financiers illicites et le développement durable en Afrique".

Il montre que les FFI sortants sont presque aussi importants que le total des flux entrants de l'aide publique au développement, évalués à 48 milliards de dollars, combinés aux investissements directs étrangers, estimés à 54 milliards de dollars, reçus par les pays africains – et ce chaque année en moyenne pour la période 2013-2015.

"Les flux financiers illicites privent l'Afrique et ses habitants de perspectives d’avenir, compromettent la transparence et la responsabilité et sapent la confiance dans les institutions africaines", a déclaré le Secrétaire général de la CNUCED, Mukhisa Kituyi.


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Alioune Sarr, ministre du Commerce, de la consommation, du secteur informel et des Pme,  a présenté, mercredi dernier, à l’Organisation mondiale du commerce (Omc) la plateforme « Gaindé » comme un outil performant du génie sénégalais pour l’atteinte des objectifs du développement durable à l’horizon 2030.

GENEVE-(Suisse) – A l’occasion de la 17ème édition du forum public de l’Organisation mondiale du commerce portant sur le thème : « Le commerce: au-delà des gros titres », le Sénégal a présenté un panel sur «la dématérialisation des procédures du commerce extérieur du Sénégal ».  Un thème bien à propos car les séances du Forum qui regroupent des milliers de personnes sont axées sur la façon de rendre le commerce plus inclusif, sur le commerce et les objectifs de développement durable (Odd) ainsi que sur le commerce et l’emploi. Les Sénégalais ont donc mis le focus sur la croissance économique, l’inclusion et l’atteinte des nouveaux objectifs de développement durable, en démontrant entre autres que la dématérialisation des procédures du commerce extérieur augmente les flux des échanges commerciaux ; induisant une croissance économique plus soutenue. « Un des objectifs du Plan Sénégal émergent est de tripler les exportations du Sénégal par la facilitation et la dématérialisation des procédures du commerce extérieur », a insisté Alioune Sarr.