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Ouagadougou - Dakar (CICR) – Suite à la multiplication des actes de violence armée dans la province du Soum, plus  de 800 familles (5 000 personnes), ont dû quitter leur domicile depuis janvier, pour rejoindre des localités plus au sud. L’accès aux soins pour les communautés, ainsi que leurs moyens de subsistances sont gravement affectés.

 

«Ces familles déplacées ont reçu des coupons à échanger pour des vivres auprès de commerçants locaux», explique Idrissa Savadogo du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui vient de prendre part à cette opération d’assistance. Depuis septembre 2017, plus de 18 000 personnes ont bénéficié d’une assistance du Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge dans cette province.

 

« Maintenir l’accès aux soins de santé avec la Croix-Rouge burkinabé et en partenariat avec les autorités locales est également au cœur de nos priorités », souligne Christian Munezero, le Chef de Mission du CICR au Burkina. En zone rurale, des centres de santé ont fermé ou fonctionnent au ralenti depuis le départ de certains personnels de santé en raison de l’insécurité, tandis qu’à Djibo, le nombre de patients augmentent plus vite que l’offre de soins disponible.

 

« Ce que nous redoutons le plus actuellement, c’est la période de soudure, entre juin et août. Sécheresse et insécurité risquent de frapper de plein fouet ces communautés», alerte Christian Munezero.